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 c a i n # les affaires humaines ont leurs marées_ the end SERPENTARD

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Cain N. Rosario
6ème année à Serpentard

Cain N. Rosario


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MessageSujet: c a i n # les affaires humaines ont leurs marées_ the end SERPENTARD   c a i n # les affaires humaines ont leurs marées_ the end SERPENTARD Icon_minitimeJeu 28 Aoû - 2:57

    c a i n # les affaires humaines ont leurs marées_ the end SERPENTARD 811___



    C A I N ; N A R C I S S E ; M O R G A N # R O S A R I O .





    Oui, j'étais jeune ;
    j'étais con ;
    j'étais arrogant ;
    ridicule, excessif
    et même rebelle.

    Mais j'avais raison.


Dernière édition par Cain N. Rosario le Jeu 28 Aoû - 6:15, édité 4 fois
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Cain N. Rosario
6ème année à Serpentard

Cain N. Rosario


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MessageSujet: Re: c a i n # les affaires humaines ont leurs marées_ the end SERPENTARD   c a i n # les affaires humaines ont leurs marées_ the end SERPENTARD Icon_minitimeJeu 28 Aoû - 3:39

    Parce que le début c'est pas forcément le commencement.



    « Cain, espèce d’enfoiré, vie-
    - Imbécile, con, idiot, connard…
    - Quoi ?!
    - Tu peux me traiter d’imbécile, de con, d’idiot, de connard, mais pas d’enfoiré. S’il te plait.
    - Ah et en plus tu t’marres ? Connard tu m’as piqué ma copine !
    - Qui va à la chasse perd sa place. »

    __Sourire.

    « T’as de la chance, j’adore chasser. »

    #

    « La belle au bois dormant se réveille enfin.
    - La vache, j’ai mal à la tête.
    - Ouais, bah attends de t’voir dans un miroir, y’a d’quoi se marrer un bon coup. »

    __Et, pressé par sa curiosité, le brun s’en fut face au miroir de cette chambre qu’il connaissait tant. D’ailleurs, il dut nettoyer avec sa manche pour enlever la crasse qui l’empêchait de voir son reflet. Hmpf. Une trace noirâtre entourait son œil, et du sang séché était collé le long de sa narine, de ses lèvres et de son menton. Cain secoua légèrement la tête pour ôter les cheveux collés à son front. Après quoi il se dirigea vers le premier robinet du coin et fit gicler l’eau fraiche sur son visage de porcelaine. Lentement ses lèvres pincées en un rictus d’affliction laissèrent entrevoir un fil de dents blanches jusqu’à ce qu’un sourire égaie son visage. Alors, sans pouvoir s’en empêcher, le cadet des Rosario laissa s’échapper un rire cristallin, qui devint bien vite bruyant, trop bruyant, et des larmes vinrent couler sous ses yeux tandis qu’il se tenait le ventre endolori. Les regards étonnés et exaspérés des quelques occupants de la pièce se tournèrent vers lui, certains haussant des épaules, déjà trop habitués à cette attitude excentrique du gamin – oui, parce que pour tous il était « le gamin », même 16 ans passés. Finalement, la douleur à la tête et au ventre se faisant trop imposantes, le Rosario en vint à retrouver son souffle, s’appuyant contre le lavabo.

    « Bordel Cain, ferme cette bon sang d’eau, tu gaspilles pour rien là. »

    __N’obéissant pas tout de suite, l’adolescent en question pouffait toujours légèrement sous sa barbe, fixant un point au loin. Puis, voyant que son cousin allait pour s’énerver il obéit. Et le silence s’empara à nouveau de chambre. A ce stade de la scène, C émit un grognement. Exaspérante cette indifférence qu’ils émettaient tous. Ah ça, il s’en rappellerait la prochaine fois qu’il faudrait leur payer un stock de bières. Tant pis.
    __De sa main gauche il attrapa la veste jetée sur le lit, et la plia sous son bras, puis, à pas rapides, il s’élança vers la porte et la claqua derrière lui. Les occupants de la pièce eurent juste le temps de s’échanger un sourire que la porte s’ouvrait à nouveau sur un Cain un semblant énervé.

    « Bon, et vous voulez même pas savoir pourquoi j’me marrais comme un con là ?!
    - On savait que tu reviendrais. C’est toujours la même chose.
    - C’est ça, la ferme. »

    __Titillé à vif le gamin. Et puis grand sourire, yeux pétillants.

    « Le mec qui m’a buté là, en plus de son frère et sa sœur que j’m’étais tapés, j’l’avais déjà rendu cocu une fois. »

    __Cette simple phrase suffit à faire retentir les éclats de rire de tous les jeunes réunis dans la pièce. Leurs rires profondément amusés se joignirent à celui cristallin du diable de porcelaine pour s’emmêler en une symphonie qui ferait frémir Cieux et Enfers.
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Cain N. Rosario
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Cain N. Rosario


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MessageSujet: Re: c a i n # les affaires humaines ont leurs marées_ the end SERPENTARD   c a i n # les affaires humaines ont leurs marées_ the end SERPENTARD Icon_minitimeJeu 28 Aoû - 4:59


    Et le petit prince dit à l'homme : « les grandes personnes, elles ne comprennent rien toutes seules. Et c'est très fatigant pour les enfants de toujours et toujours leur donner des explications ».
    Antoine de Saint-Exupéry



    __Mais enfin, retournons seize ans plus tôt, dans l’une des dix chambres du manoir Rosario où, après un ultime grognement, la génitrice donnait naissance à son bambin. Il se trouve qu’il fut une époque ou Cecilia était paralysée des jambes, et comme l’arrivée de Cain se fit à l’improviste il fut trop tard pour rejoindre Ste Mangouste. Cela n’empêche que Ste Mangouste vint à la maison. Et autour de tasses de thé offertes par les gouvernantes aux diverses sages femmes – oui, il était bien dix-sept heures – le diablotin finit de tourmenter sa mère pour venir se blottir dans les bras d’une infirmière, tout en poussant des cris stridents. Ca promet. Ironie du sort, lorsqu’on l’aida à se lever, Cecilia Rosario perdit l’équilibre, mais d’instinct elle posa un pied devant l’autre, se soutenant elle-même. Elle venait de faire son premier pas depuis la naissance de son aîné, un an auparavant. Il lui suffit d’un regard vers l’enfant pour regretter aussitôt cet incident merveilleux. Il était déjà en train de jouer et de s’agiter en empêchant les infirmières de faire leur travail.

    « Où est l’enfant ?! Par la barbe de Merlin, Ce’ ! Tu marches ! Cet enfant tient du miracle. Nous l’appellerons Cain. »

    __A cet instant, la génitrice fut tentée de simuler une crise de paralysie, mais elle ne put s’y résoudre face à tel enchantement de son mari. Mais Merlin, qu’elle regretta ce prétendu miracle. Car si avec l’aîné des enfants elle n’avait pratiquement rien eu à faire tellement il s’était montré un enfant calme et effacé, elle savait dors et déjà que Cain serait l’exacte antithèse de son aîné. Une image d’elle courant derrière le bambin d’à peine quelques semaines lui vint à l’esprit, mais bien vite l’exaspération se transforma en admiration. On venait de lui tendre l’enfant déjà rieur, et elle ne put résister plus longtemps. D’un élan d’affection maternelle Cecilia embrassa son fil, l’accueillant avec délicatesse contre son corps chaud. Prince de porcelaine, Cain semblait déjà voué à représenter une nouvelle facette des Rosario. Et quelle facette. Car il allait faire parler de lui, il allait faire souffrir, rire, et espérer bien des personnes. Espérer en vain. L’enfant né à l’heure du thé, ne pourrait qu’avoir un penchant pour les brulures de la langue, et du cœur.

    #

    « Je n’aime pas les vers, j’aime la poésie. Mais ça veut rien dire ce truc !
    - C’est juste que t’es trop p’tit pour comprendre.
    - Genre. T'façon ça m'intéresse pas. J'vais voir ce que fait maman.
    - Inculte va’.
    - Dixit celui qui pisse encore au lit. »

    __Un. Deux. Trois. Leopold sauta sur ses deux pieds pour commencer à courir derrière son cadet. Celui-ci avait déjà sauté par la fenêtre du rez-de chaussée, s’élançant dans le grand jardin de la maison de vacance des Rosario. Leo n’avait aucune chance de rattraper son cadet, bien trop rapide et élancé pour lui. Mais en voulant tirer la langue à son frère, Cain ne prêta pas attention à la personne qui se trouvait entre la liberté et lui-même. Ainsi il fonça droit contre le corps imposant de Camille, son père. Encore étourdi par le choc il ne vit pas arriver la gifle monumentale que lui administra son paternel. Derrière, Leo pleurait comme une gneugnette. Alors Cain se leva, pesta contre son frère et s’élança tête baissée vers la demeure. Ce bout de chou de sept ans poussa rageusement la porte d’entrée avant de courir vers sa chambre. Cachée derrière une porte, il ne fallut pas longtemps à la mère pour comprendre la situation. Elle irait parler à son fils dès que la colère se serait calmée. Car oui, cette femme de trente ans craignait le courroux de son cadet. Il n’avait jamais été évident de l’affronter dans cet état, alors bien vite chacun avait appris à laisser à Cain ces quelques moments de solitude. Moments de solitude où il se retrouvait seul face à ce démon qui le hantait.

    #

    __Avec les années Cain s’était calmé. Ses parents l’avaient présenté à d’autres enfants tout aussi dignes de respect, et il avait vite connu l’amitié et les débuts enfantins de l’amour. L’enfant de dix ans avait un bel aspect. Une peau pâle, quelques taches de rousseur, des yeux bleus envoutants et des cheveux noirs de jais. Sa taille arrivait à le complexer, mais son corps frêle et élancé arrivait à lui apporter cette silhouette qui étonnait tant pour un enfant de cet âge. L’enfant portait bien les vêtements coûteux que lui offraient ses parents, et il réussit même à les rendre fiers de lui – jusqu’à ce qu’il se laisse aller à ses jeux stupides. Cap ou pas cap ?
    __Ce n’était plus le fait d’embêter son frère ou de jouer des tours au personnel de la maison qui enthousiasmait. Non, ce démon là s’était fait rappeler dans les méandres de sa personnalité. Ce qui l’intéressait vraiment, maintenant, c’était d’apprendre à utiliser de son charme et de ses autres atouts pour se servir des uns des autres. Car le Monde entier était un jeu, et ses différents habitants en étaient des pions, non ?

    __Mais oui, je vous jure, il n’a que dix ans.

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Cain N. Rosario
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MessageSujet: Re: c a i n # les affaires humaines ont leurs marées_ the end SERPENTARD   c a i n # les affaires humaines ont leurs marées_ the end SERPENTARD Icon_minitimeJeu 28 Aoû - 6:05

    Pour rester soi-même dans un monde qui s'évertue jour et nuit à vous rendre comme n'importe qui. Il faut gagner la plus rude bataille qu'un humain puisse livrer et cette bataille n'a pas de fin.
    E. E. Cummings




    __Nous nous étions quittés sur un Cain de dix ans. Mais maintenant il vous suffit de repenser à cette première scène d’ouverture, celle de la dispute entre le chasseur et le petit ami de sa proie ; puis sur celle du réveil de la Belle au Bois Dormant, envoyée au tapis dès le premier round et là vous aurez un aperçu de ce qu’est devenu notre jeune Rosario. Pas glorieux dites-vous ? Je suis d’accord. Personne n’est parfait, et si Cain accumule les défauts il ne faut pas oublier qu’il reste l’un des adolescents les plus appréciés de son académie de sorcellerie. Certes, il a une fâcheuse tendance à vouloir s’approprier la gente féminine et masculine qui l’intéresse, mais nous n’allons pas lui en vouloir, non ? Après tout, il n’a que seize ans. Et à cet âge là, les passions ça va ça vient. Le problème c’est qu’il n’a connu de réelles passions. Comment est-ce possible ? me demanderez-vous. C’est simple. On est jeune et on aime profiter de la vie. Et puis, chacun a ses manières d’en profiter. Pour Cain il s’agit surtout de se laisser aller à des jeux du destin et à des rencontres fructueuses. A chaque chose qu’il entreprend il doit y avoir un but bien précis et quelque chose à recevoir en retour. Sinon, ce serait du temps volé.

    __N’allez pas vous y méprendre. Ce fourbe gamin qui se considère imbécile et idiot ne passe pas sa vie à chercher l’amusement. Doté d’un tant soit peu de bon sens il sait comment répartir son temps pour ne pas trahir le reste des activités qu’a un adolescent à cet âge là. Mais enfin, le tout est que, tel qu’il est, Cain se sent sûr de lui. Il n’est pas « heureux », mais simplement, bien. Enfin… Sans doute arriverait un jour où un simple détail pourrait venir détruire son auto-estime.

    #

    __Un jour pourtant, un jour viendra…

    __Et ce jour vint.



    « Un ami, c’est quelqu’un qui vous connaît bien et vous aime quand même. »




    __Cain, un paquet de cigarettes dans la poche et une bière à la main. Une fête venait de se terminer sur l’une de ces quelques plages anglaises fréquentées par les jeunes londoniens et de rares jeunes se baladaient encore sur la plage. Certains s’étaient écroulés par terre, trop de drogues ou d’alcools ; d’autres, endormis aux quatre coins de la plage, en attendant le jour et l’heure de dessoûler pour pouvoir rentrer dans leurs douces demeures. Enfin, quelques rares rescapés marchaient tels des zombis, d’ici à là, de là à ici. La plupart s’étaient allongés face à la mer, le bruit des vagues les berçant tandis que leurs yeux se perdaient dans ce ciel rosé par la couchée de la nuit.
    __Or, parmi toutes ces figures plus ou moins « défoncées » dirons-nous, un en particulier se tenait accroupi – et non pas avachi par terre – sur le sable, les yeux fixant les méandres de l’étendue sombre. A le voir de loin, le Rosario sut aussitôt qu’il se passerait quelque chose entre eux. C’est sans doute la raison qui le poussa à se diriger vers le mystérieux inconnu. Un garçon, incroyablement beau, et à l’allure envoutante. La plupart des jeunes sur cette plage étaient des sorciers, mais quelques rares exceptions venaient confirmer la règle. Or il ne l’avait jamais vu, lui, l’inconnu de la plage. Il avala une gorgée de la bière avant de franchir le cap’, un sourire aux lèvres. S’asseyant côté à côté avec celui qui deviendrait son meilleur ami, Cain lui tendit la bouteille déjà à moitié vide. « T’en veux ? » Meilleur moyen pour commencer une conversation.

    « En fait. Moi, c’est Cain. »

    __Il lui tendit la main, qui effleura celle de Edward. Un frisson lui parcourut l’échine.

    #

    __Le diable de porcelaine a changé, des entailles menacent de le briser. Mais, veut-il vraiment se faire sauver ?


Dernière édition par Cain N. Rosario le Jeu 28 Aoû - 6:19, édité 2 fois
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Cain N. Rosario


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MessageSujet: Re: c a i n # les affaires humaines ont leurs marées_ the end SERPENTARD   c a i n # les affaires humaines ont leurs marées_ the end SERPENTARD Icon_minitimeJeu 28 Aoû - 6:12


    { IVe Partie

    * Prénom : Si'
    * Âge : Tadam. 15 ans et des poussières.
    * Avatar : Tom Sturridge
    * Poste Vacant ou non : nop'
    * Comment avez-vous découvert TWC ? aha.
    * Qu’en pensez-vous ? franchement? bof. *pavé*
    * Présence sur le forum (?/7): le nécessaire pour pas m'faire oublier muaha. *mur de pavés*
    * Code du Règlement: c'pour les pas admins ça *siftlotte*


    bon, techniquement j'ai pas attendu de m'faire valider pour ram'ner ma fraise dans l'forum donc... mais j'laisse le loisir aux autres admins de m'valider officiellement :'D et si vous êtes trop longs bah, au bucher.
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Damian O. Lewis
- Admin -
- Méchante Fourchette Gutturale -
Damian O. Lewis


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Âge : 16 ans
Côté Coeur : Y crois-tu vraiment ?
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Feuille de personnage
Age: 16 ans
Which camp ?: Evil
Credits:
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MessageSujet: Re: c a i n # les affaires humaines ont leurs marées_ the end SERPENTARD   c a i n # les affaires humaines ont leurs marées_ the end SERPENTARD Icon_minitimeJeu 28 Aoû - 11:06

HéHé 8D

Alors fiche ok,
code ... on va dire ok x)
Bon et bien je pense que tu peux refaire entièrement ta fiche *pavé* es officiellement validé 8D

Serpentard cela va de soit x)
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http://stracciatella.e-monsite.com/
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MessageSujet: Re: c a i n # les affaires humaines ont leurs marées_ the end SERPENTARD   c a i n # les affaires humaines ont leurs marées_ the end SERPENTARD Icon_minitime

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